L’écrivain et activiste environnementaliste Paul Kingsnorth m’a fait découvrir ce sombre poète qui méprisait notre humanité celle qui abrutit le monde de ses propres dérives égoïstes... parfum de fin de monde qui ne regrettera pas les humains ... It’s the end of the world as we know it and I feel fine ( Michael Stipe, REM)
Article dans Harper’s magazine!
Et en français aux éditions Wild Project
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